Atelier lecture online – mardi 7 avril 2020 🗓

Bonjour à tous,

A circonstances exceptionnelles, dispositions exceptionnelles ! Je vous propose de réaliser un atelier lecture à distance, en étant reliés les uns aux autres via l’application (gratuite) Zoom. Celles et ceux qui confirmeront leur présence recevront un lien avec les explications pour se connecter. Rassurez-vous, c’est très simple, et pour l’avoir largement utilisé depuis quelques semaines cela fonctionne bien ! Nous pourrons ainsi grâce à la vidéo nous voir et nous entendre dans de bonnes conditions et pouvoir échanger littérature autour d’une tasse de thé ou de café … chacun depuis chez soi et en toute sécurité !

Si mes souvenirs sont bons, et étant donné le décalage de nos précédentes rencontres, les deux ouvrages dont nous parlerons seront :encrypted-tbn1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQ...

José Saramago, Les intermittences de la mort 

Jean d’Ormesson : Et moi, je vis toujours

Connectez-vous à 9H30 ! Au plaisir de se voir et de se parler de vive voix !

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Club lecture du vendredi 8 novembre 🗓 🗺

Nous nous retrouvons demain pour discuter de deux romans, qui semblent n’avoir strictement rien en commun. Pourtant, l’un comme l’autre, évoluent autour d’un axe commun : la liaison de trois personnes.

À vendredi ! Et pour cette fois, à partir de 10h15 ! (Merci de bien noter le petit décalage de l’horaire)

Je vous rappelle le programme et la date de notre dernière rencontre littéraire pour 2020 :

Le vendredi 13 décembre : « 1Q84 » de Haruki Murakami et « L’Empire des anges » de Bernard Werber.

 

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Club lecture du 11 octobre 🗓

1,41. C’est l’indice bouleversant qui fait parler la Finlande depuis sa parution en début de semaine. On ne fait plus assez de bébés ! Passé de 1,87 en 2000 à  1,41 aujourd’hui, l’indice de fécondité finlandaise est en chute libre et la tendance semble se poursuivre. Notre livre du mois d’octobre, le roman d’anticipation de Margaret Atwood La Servante écarlate (titre original: The Handmaid’s Tale), pourtant écrit il y a plus de 30 ans, tape dans le vif. Le système de procréation par servantes écarlates est-il pour bientôt ?

À vendredi !

Je vous rappelle le programme et les dates des prochains clubs lecture 2019.

Le vendredi 8 novembre : « Roi, Dame, Valet » de Vladimir Nabokov » et « La tresse » de Laetitia Colombani

Le vendredi 13 décembre : « 1Q84 » de Haruki Murakami et « L’Empire des anges » de Bernard Werber

 

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Club lecture du 20 septembre 2019 🗓 🗺

Notre prochain rendez-vous a donc lieu ce vendredi 20 septembre, avec au programme deux grands auteurs dont nous n’avions pas encore eu l’occasion de parler au Club: Kjell Westö et Erik Orsenna. Ces deux auteurs auront, outre le talent littéraire largement reconnu, au moins un point commun, la fibre de l’historien: pour expliquer le présent, il faut remonter dans le passé. D’ailleurs, on aura l’occasion vendredi de faire un saut dans le passé, en allant chez la petite Matilda, presque pour du vrai…

Un mirage finlandais, de Kjell Westö,                                                                             Quatrième de couverture : « Le Club du mercredi avait commencé, des gloussements virils lui parvinrent dès qu’elle monta l’escalier en pierre.
Matilda distingua la voix de Thune, celle de Grönroos, et d’autres aussi. Elle se figea. Matilda est une sténodactylo hors pair. Elle travaille à Helsinki pour l’avocat Claes Thune. Ce soir de mars 1938, le Club du mercredi – un groupe de gentlemen qui se retrouvent chaque mois pour refaire le monde – est réuni dans le cabinet de son patron. Soudain, Matilda reconnaît la voix d’un homme qu’elle aurait préféré oublier… La vengeance n’est-elle pas un plat qui se mange froid ?
Kjell Westö signe un remarquable roman à suspense avec, en toile de fond, une Finlande méconnue, écartelée entre l’Union soviétique et l’Allemagne.« 

Cet ouvrage a obtenu le grand prix de littérature du Conseil nordique en 2014. Kjell Westö est un écrivain finlandais de langue suédoise. Dans la traduction finnoise, les noms des rues et des quartiers d’Helsinki sont en finnois. Dans la version en français par contre, ce sera plus compliqué pour se repérer, car nous n’irons pas à Töölö, à Hietaniemi, à Taivallahti ni Munkkiniemi, mais à Tölö, à Edelsviken, à Sandudd et à Munksnäs. Petite fille, l’héroïne du Mirage finlandais, habitait tout près de la rue où nous nous retrouvons pour le club lecture. Avez-vous noté ce passage où Matilda parle de sa maison d’enfance ?

Voyage aux pays du coton, d’Erik Orsenna,

Quatrième de couverture : « Cette histoire commence dans la nuit des temps. Un homme qui passe remarque un arbuste dont les branches se terminent par des flocons blancs. On peut imaginer qu’il approche la main. L’espèce humaine vient de faire connaissance avec la douceur du coton.
Depuis des années, quelque chose  me disait qu’en suivant les cheminsdu coton, de l’agriculture à l’industrie textile en passant par la biochimie, […] je comprendrais mieux ma planète. Les résultats de la longue enquête ont dépassé mes espérances.
Pour comprendre les mondialisations, celles d’hier et celle d’aujourd’hui, rien ne vaut l’examen d’un morceau de tissu. Sans doute parce qu’il n’est fait que de fils et de liens, et des voyages de la navette. »

À vendredi, !

Pour rappel: les ouvrages au programme pour l’année 2019-2020 sont précisés ici.

 

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Club lecture du 23 août 🗓 🗺

L’été, et ses grandes vacances, est presque fini et il est temps de nous retrouver dans la bonne humeur pour discuter de nos lectures.  Les ouvrages au programme pour l’année 2019-2020 sont précisés ici.

Notre prochain rendez-vous aura lieu :                                                                                      ce vendredi 23 août, à partir de 9h30 chez Dorothée:

Nos chers amis du club maintenant repartis en France pourront nous retrouver via whatsup et les nouveaux arrivés sont les très bienvenus.

Au programme pour ce vendredi :

Pierre LemaîtreCouleurs de l’incendie

Quatrième de couverture : Février 1927. Le Tout-Paris assiste aux obsèques de Marcel Péricourt. Sa fille, Madeleine, doit prendre la tête de l’empire financier dont elle est l’héritière, mais le destin en décide autrement. Son fils, Paul, d’un geste inattendu et tragique, va placer Madeleine sur le chemin de la ruine et du déclassement.
Face à l’adversité des hommes, à la cupidité de son époque, à la corruption de son milieu et à l’ambition de son entourage, Madeleine devra déployer des trésors d’intelligence, d’énergie mais aussi de machiavélisme pour survivre et reconstruire sa vie. Tâche d’autant plus difficile dans une France qui observe, impuissante, les premières couleurs de l’incendie qui va ravager l’Europe.

Couleurs de l’incendie est le deuxième volet de la trilogie inaugurée avec « Au revoir là-haut » (livre que nous avons lu l’année dernière), prix Goncourt 2013, où l’on retrouve l’extraordinaire talent de Pierre Lemaitre.

Yasmina KhadraKhalil

Quatrième de couverture : Vendredi 13 novembre 2015. L’air est encore doux pour un soir d’hiver. Tandis que les Bleus électrisent le Stade de France, aux terrasses des brasseries parisiennes on trinque aux retrouvailles et aux rencontres heureuses. Une ceinture d’explosifs autour de la taille, Khalil attend de passer à l’acte. Il fait partie du commando qui s’apprête à ensanglanter la capitale.
Qui est Khalil ? Comment en est-il arrivé là ?
Dans ce nouveau roman, Yasmina Khadra nous livre une approche inédite du terrorisme, d’un réalisme et d’une justesse époustouflants, une plongée vertigineuse dans l’esprit d’un kamikaze qu’il suit à la trace, jusque dans ses derniers retranchements, pour nous éveiller à notre époque suspendue entre la fragile lucidité de la conscience et l’insoutenable brutalité de la folie.

À vendredi  !

 

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Atelier Lecture 2019-2020 : Programme

Voici le programme du club de lecture …..

A partir de 9h30…

23 août :
Pierre Lemaitre     Couleurs de l’incendie
Yasmina Khadra   Khalil

20 septembre :
Eric Orsenna          Voyage au pays du coton
Kjell Westö            Un mirage finlandais

11 octobre :
Margaret Atwood La servante écarlate (544 p.)

8 novembre :
Ruth Ozeki                Mon épouse américaine
Vladimir Nabokov   Roi, dame, valet

13 décembre :
Haruki Murakami   1Q84 (552 p.)

10 janvier :
Frederic Lenoir       Le miracle Spinoza
Fred Vargas              L’armée furieuse

7 février :
Bill Bryson               American Rigolo
Gouzel Iakhina       Zouleikha ouvre les yeux

6 mars :
José Saramago            Les intermittences de la mort
Jean d’Ormesson       Et moi, je vis toujours

3 avril :
Molière                         Le Misanthrope
Romain Gary              La promesse de l’aube

8 mai :
Michel Houellebecq       Sérotonine
Guillaume Musso            La vie secrète des écrivains

5 juin :
A définir ultérieurement

A propos du prochain livre de M Houellebecq à l’atelier

J’ai trouvé ce lien Ina: Je l’ai fait passer par le WhatsApp mais je n’ai pas le sentiment que ce fut une réussite.

Vidéo interview sur La possibilité d’une île

Je viens de tenter, ca fonctionne.. mais ce n’est pas direct. Ne pas se décourager si la page « erreur » s’affiche. J’ai tapé Michel Houellebecq dans la recherche et ensuite « a propos de son livre la possibilité d’une ile » et hop.. C’est un entretien avec T. Ardisson.

Atelier lecture du 7 juin 🗓

 

Tiens, il semblerait bien que Franck Nouchi, journaliste au Monde, m’ait mâché le travail. En exprimant exactement ce que je m’apprêtais à écrire. Et en mieux, donc je ne me casse pas la tête et reprends ses lignes telles qu’elles furent publiées dans le Monde du 1er septembre 2005 à la sortie de La Possibilité d’une île, le quatrième roman de Michel Houellebecq :

« Voilà, c’est fini, le livre est refermé, Houellebecq a gagné son pari. Daniel, Marie, Esther, tous les personnages sont encore là, étonnamment présents ; vite vient l’envie d’en parler, de comparer sa propre lecture à celle des autres. S’il est des livres que l’on a envie de garder pour soi, avec soi, profondément, il n’en est décidément rien avec ceux de Houellebecq ; comme s’ils offraient, à chaque fois, la possibilité d’une confrontation. »

Après nos discussions enfiévrées l’automne dernier autour de La Carte et le territoire, notre prochain rendez-vous, le vendredi 7 juin, s’annonce prometteur. Et la confrontation, nous la traduirons, bien entendu, par débat où la liberté d’expression est reine et l’esprit constructif roi. La Promesse d’une île de Houellebecq est un roman de science-fiction réaliste qui pose une question fondamentale : un humain, qu’est-ce que c’est ? Une espèce en voie de disparation ?

Ce sera notre dernière rencontre littéraire avant les grandes vacances d’été et il nous faudra établir notre programme pour la rentrée. Pensez à répertorier vos coups de coeur littéraires pour pouvoir les proposer.

Vers midi et demi, nous aurons certes l’esprit repu d’idées nouvelles, mais l’heure du déjeuner ne s’en fera pas moins sentir. De sympathiques terrasses nous tendent les bras, alors allons déjeuner ensemble pour marquer l’arrivée de la saison estivale !

À vendredi 7 juin,

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PS: Je profite de cet article pour souhaiter un bon anniversaire, non pas à Daniel1 ni à Daniel24, mais bien à « notre » Daniel, né le 14 mai.

 

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Atelier lecture du 10 mai 🗓 🗺

Bonjour à chacune et chacun !

Le prochain atelier lecture est vendredi 10 mai prochain à 9h30…

Où se tiendra-t-il ? Chez Dorothée, notre hôtesse pour les derniers ateliers de la saison 2018-2019…

Au programme, le roman « En même temps, toute la terre et tout le ciel » de Ruth Ozeki, une écrivain et réalisatrice américaine née dans le Connecticut, d’un père américain et d’une mère japonaise.

« Entre réalité et imaginaire, une rencontre littéraire bouleversante entre deux femmes en quête d’identité. Puisant dans la tradition des  » I-Novels  » japonais, un roman à tiroirs empreint de questionnements métaphysiques, mais aussi humanistes et écologiques, auquel se mêle une troublante réflexion sur le temps, le langage, la méditation et l’Histoire.

Dans la lignée de Murakami, un bijou littéraire original, à la fois profond et plein d’humour, intime et universel.

Baie Desolation, Colombie britannique, Canada, 2011 Écrivain privée d’inspiration, Ruth découvre sur une plage un sac abandonné. Sans doute un des multiples restes du tsunami de 2011, qui s’échouent régulièrement sur les plages canadiennes. Mais ce sac cache bien des secrets : à l’intérieur, un bento Hello Kitty qui renferme un journal intime, reprenant la couverture originale de À la recherche du temps perdu, mais aussi un vieux carnet et quelques lettres illisibles.

Piquée par la curiosité, Ruth entreprend de résoudre l’énigme et de traduire le journal. Elle découvre l’histoire de Nao Yasutani, adolescente japonaise de seize ans. Dans l’univers feutré de leur maison canadienne, Ruth et son mari, Oliver plongent dans l’intimité d’une jeune fille déracinée qui, après une enfance passée dans la Silicon Valley, a dû regagner Tokyo, sa ville natale, terre inconnue dont elle ne maîtrise pas les codes.

Un retour brutal, le début du calvaire pour Nao : humiliée par ses camarades, la jeune fille se réfugie un temps chez son arrière-grand-mère, Jiko, fascinante nonne zen de 104 ans, ancienne anarchiste féministe, qui vit dans un temple près de Fukushima. Là, Nao apprend à être attentive à l’instant présent, à écouter les fantômes. Celui de son grand-oncle, Haruki Ier.

Nao va mieux, jusqu’à ce jour tragique à l’école. Privée de tout lien avec ses parents, la jeune fille dérive de nouveau. Au risque de se perdre complètement… À des milliers de kilomètres, Ruth n’a qu’une obsession : sauver Nao. Mais comment la retrouver ? De quand date ce journal ? Ce peut-il que la jeune fille ait disparu, emportée par le tsunami ? »

Le deuxième roman au programme est celui de Patrice Carlen-Helmer, « Mai 68, elles m’aimaient ! ». Nous aurons la possibilité de discuter du roman avec son auteur, via WhatSapp, à partir de 10h00 grâce à Claire !

« Philibert, bachelier provincial, arrive  10h00 à Paris pour ses études supérieures. Il va y découvrir un monde étudiant en pleine effervescence, une vie parisienne en trompe-l’œil, les charmes de jeunes filles plus ou moins sages ou délurées, tout en étant confronté à sa propre solitude. Sensible, intelligent mais introverti et encore naïf, il se retrouve mêlé, à Nanterre puis à la Sorbonne, aux événements de Mai 1968. Étonnements et tribulations vont lui faire faire l’apprentissage de la vie et de la société des « Trente Glorieuses ». Ses aventures amoureuses, sa rébellion à contre-courant et sa personnalité le mèneront jusqu’à l’impensable ! »

À très bientôt !

 

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Club lecture francophone