Atelier lecture du 12 avril 🗓 🗺

Bonjour à chacune et chacun !

Le temps s’est échappé à vive allure et Sylvie nous manque déjà. Mais nous espérons sa présence grâce à Skype pour le prochain atelier lecture du vendredi 12 avril prochain…

Où se tiendra-t-il ? Chez Dorothée, notre hôtesse pour les prochains ateliers de la saison 2018-2019…

Nous parlerons d’« Harjunpää et le prêtre du mal », un roman policier écrit par Matti Yrjänä Joensuu en 2003. L’auteur est inspecteur divisionnaire à la brigade criminelle d’Helsinki comme son héros récurrent, Timo Harjunpää.

Son oeuvre riche et dense est composée d’une douzaine de romans policiers. Son personnage principal est dépressif et sans illusion sur la nature humaine, mais empreint d’humanité et de compassion.

« À Helsinki, prendre le métro devient de plus en plus dangereux. Quand on retrouve le cadavre d’un homme pris sous une rame, le premier réflexe des policiers est de penser à un suicide. Mais l’inspecteur principal Timo Harjunpää n’y croit pas. Pour lui, pas de doute, il s’agit d’un crime prémédité et méthodique…

Alors qu’il s’active, à l’abri d’un local désaffecté perdu dans le réseau ferré de la capitale finlandaise, un illuminé se prend pour le prophète d’une divinité tellurienne en l’honneur de qui il doit commettre des sacrifices. La prochaine victime est déjà choisie…

Pris dans une course sanglante contre la montre, Harjunpää arrivera-t-il à déjouer les maléfices du prêtre du mal ? »

Joensuu distille dans ce roman une ambiance désagréable qui progressivement nous enveloppe au fil des pages, un peu à la manière de certains thrillers américains.

Usagers dépressifs du métro, prenez le tram, vous êtes prévenus !

Le deuxième roman au programme de l’atelier d’avril est « En même temps, toute la terre et tout le ciel » de Ruth Ozeki, une écrivain et réalisatrice américaine née dans le Connecticut, d’un père américain et d’une mère japonaise.

« Entre réalité et imaginaire, une rencontre littéraire bouleversante entre deux femmes en quête d’identité. Puisant dans la tradition des  » I-Novels  » japonais, un roman à tiroirs empreint de questionnements métaphysiques, mais aussi humanistes et écologiques, auquel se mêle une troublante réflexion sur le temps, le langage, la méditation et l’Histoire.

Dans la lignée de Murakami, un bijou littéraire original, à la fois profond et plein d’humour, intime et universel.

Baie Desolation, Colombie britannique, Canada, 2011 Écrivain privée d’inspiration, Ruth découvre sur une plage un sac abandonné. Sans doute un des multiples restes du tsunami de 2011, qui s’échouent régulièrement sur les plages canadiennes. Mais ce sac cache bien des secrets : à l’intérieur, un bento Hello Kitty qui renferme un journal intime, reprenant la couverture originale de À la recherche du temps perdu, mais aussi un vieux carnet et quelques lettres illisibles.

Piquée par la curiosité, Ruth entreprend de résoudre l’énigme et de traduire le journal. Elle découvre l’histoire de Nao Yasutani, adolescente japonaise de seize ans. Dans l’univers feutré de leur maison canadienne, Ruth et son mari, Oliver plongent dans l’intimité d’une jeune fille déracinée qui, après une enfance passée dans la Silicon Valley, a dû regagner Tokyo, sa ville natale, terre inconnue dont elle ne maîtrise pas les codes.

Un retour brutal, le début du calvaire pour Nao : humiliée par ses camarades, la jeune fille se réfugie un temps chez son arrière-grand-mère, Jiko, fascinante nonne zen de 104 ans, ancienne anarchiste féministe, qui vit dans un temple près de Fukushima. Là, Nao apprend à être attentive à l’instant présent, à écouter les fantômes. Celui de son grand-oncle, Haruki Ier.

Nao va mieux, jusqu’à ce jour tragique à l’école. Privée de tout lien avec ses parents, la jeune fille dérive de nouveau. Au risque de se perdre complètement… À des milliers de kilomètres, Ruth n’a qu’une obsession : sauver Nao. Mais comment la retrouver ? De quand date ce journal ? Ce peut-il que la jeune fille ait disparu, emportée par le tsunami ? »

À très bientôt !

 

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Le programme de l’atelier lecture

Culture et confiture 😉

Cher ami(e)s de l’Atelier lecture,

Il ne reste plus que deux ateliers (12 avril, 10 mai) avant le début des vacances scolaires finlandaises et le dernier au début des vacances, le 7 juin.

Nous avons ajouté au programme d’avril et mai un deuxième roman. Le principe n’est pas forcement de lire les deux ouvrages, mais d’avoir la possibilité d’en lire au moins un, notamment si l’un des romans ne nous inspire pas du tout. C’est mieux que de rester chez soi 😉

Le programme du 7 juin sera défini lors du prochain atelier d’avril. Réfléchissons également à celui de l’atelier lecture pour la prochaine période 2019-2020. C’est le moment de faire des propositions de livres qui nous ont plu.

Ne pas oublier le principe : disponibilité en langue française, disponibilité en version numérique et/ou accessibilité avec Helmet.fi. Un seul livre papier qui circule peut prendre plus de 6 mois pour faire le tour du groupe 😉

Programme 2018-2019

  • 12.04.19 : Matti Yrjänä Joensuu, Harjunpää et le prêtre du mal
                      Ruth Ozeki, En même temps, toute la terre et tout le ciel
  • 10.05.19 : Patrice Carlen Helmer, Mai 68, elles m’aimaient !
                      Michel Houellebecq, La possibilité d’une île
  • 07.06.19 : programme à préciser ultérieurement

Bonne lecture et à bientôt !

Atelier lecture du 8 mars 🗓 🗺

« Les gens dans l’enveloppe » d’Isabelle Monnin et « Le Dieu des Petits Riens » d’Arundhati Roy

Bonjour à chacune et chacun !

Le temps s’échappe à vive allure et je suis encore là pour vous convier à notre prochain atelier lecture du vendredi 8 mars prochain…
Où dites vous ? Dans ma maison recomposée bien sûr…
Si cela vous convient évidemment !!!

Là, ce sera vraiment la dernière fois pour 2019 !!! ☺

Nous parlerons « Les gens dans l’enveloppe » d’Isabelle Monnin. L’auteur (ou peut-être l’autrice depuis le 1er mars…) ayant acheté sur internet en tapant « photo de famille » un lot de 250 photographies, décide de leur redonner vie au sein d’un roman. L’histoire d’une famille faite de « petits riens », de non-dits, d’amour et de solitude, une aventure humaine en somme.

Mais Isabelle Monin n’en reste pas là. Elle imagine une suite, qui sera une enquête afin de retrouver dans la vraie vie les personnages de ses photos. Elle y met une condition ne jamais modifier son roman quoiqu’elle puisse découvrir.

Le tout est complété par un recueil de chansons écrites par son ami d’enfance Alex Beaupain. Il fallait y penser, combiner ces genres et obtenir un livre hybride ???

Notre second livre sera « Le Dieu des Petits Riens » d’Arundhati Roy.
Mon Dieu, oserais-je dire, quel roman d’une densité extrême qui peut donner le tournis, tant les détails qui le tissent offrent une palette de couleurs et d’odeurs incroyables, avec une grande délicatesse pour raconter la brutalité ou la tendresse, la cruauté comme le désespoir.

Ces détails qui ne cessent de construire l’histoire d’une famille par le biais de celle des jumeaux Rahel et Estha, dont l’enfance fut interrompue par un événement dramatique, le décès de leur cousine, qui va les séparer. Ce roman est l’histoire de tas de petits riens dont le Dieu au souci de l’autre, au bien-être des corps, à l’alimentation et au sommeil et donne confiance aux sentiments.

Ces petits riens, qui en fait font l’ histoire de ces deux enfants , celle de l’amour interdit, du mensonge qui sauve, de la lumière qui s’éteint lorsque l’autre vous quitte, de l’intérêt pour les petits êtres, de ces moments de connivence qui vont s’envoler à jamais peut-être…

Face à lui, le Dieu des Grandes Choses avec sa Vérité ou ses Mensonges, le régime des Castes, la Jalousie, le « j’ai tous les droits » de certains sans souci de la destruction occasionnée. C’est l’histoire de deux vies et des conséquences plus ou moins dramatiques durant une période de 13 ans.

À très vite donc !
Comme d’habitude, il n’y aura qu’à pousser la porte… Bienvenue !!

Atelier lecture du 8 février 🗓 🗺

La dernière chance

Voilà nous sommes arrivés à un tournant avec février et ses frimas, le soleil qui reprend de la hauteur, la chaleur de votre présence à la maison, les jours qui rallongent cette lumière que j’adore et qui va me manquer…

En effet, ce sera le dernier atelier lecture à la maison pour cette année car je vais m’envoler vers une nouvelle destination pendant quelques temps.
C’était un vrai bonheur de vous accueillir chaque mois dans mon salon et vous allez me manquer. Mais la vie est pleine de surprises même à mon âge….

En route vers de nouvelles aventures…
Et il faut continuer à regarder la vie avec optimisme !!!!
Et puis il y a Skype, nous avons déjà testé !!! ☺

Au programme de ce vendredi 8 à partir de 9h30 :

LA DERNIÈRE CHANCE
Abdallah II de Jordanie,
La recherche de la paix à l’heure des périls,
paru le 29 avril 2011

Une intéressante description de ce petit pays et de son importance géographique et stratégique au sein du monde arabe qui grâce aux relations entretenues par son roi avec de nombreuses communautés et nations essaie de faire régner un semblant de paix.
Un portrait assez intimiste que j’ai trouvé pour ma part très instructif.

A vendredi !

Quatrième de couverture

C’est un événement sans précédent qu’un roi au pouvoir écrive ses mémoires en abordant sans détour toutes les questions les plus explosives auxquelles il est confronté. C’est l’urgence qui a décidé Abdallah II à se livrer à un tel exercice, avec la conviction que la fenêtre ouverte pour une paix entre Israël et les Palestiniens est en train de se refermer.

Depuis douze ans, il gouverne la Jordanie, pays qui est au centre des problèmes stratégiques concernant le conflit israélo-arabe, l’Irak, l’Iran et le terrorisme. Il a connu quatre guerres, depuis qu’il est monté sur le trône, mais pour lui, le moment de vérité est venu ; le Moyen-Orient menace à nouveau de basculer dans le chaos.

Un livre très personnel et émouvant.

Un appel passionné à prendre les décisions qui s’imposent pour garantir une paix durable avant qu’il ne soit trop tard.

Pour mieux comprendre les difficultés de la paix entre Palestiniens et Israéliens, l’impact de la guerre d’Irak sur la région, le fléau que représente le terrorisme ou encore comment il convient de traiter l’Iran.

Chef de la famille des Hachémites, Abdallah II de Jordanie est le quarante-troisième descendant direct du prophète Mahomet. Sa famille a gouverné la ville sainte de La Mecque pendant plus de huit cents ans et son arrière-grand-père a dirigé la révolte qui a libéré les Arabes du joug ottoman.

« La Dernière Chance raconte l’histoire extraordinaire du roi Abdallah et présente sa réflexion sur les grands défis de notre temps, ainsi que sa vision humaniste de la paix dans le monde. Ce roi est un homme bon, un dirigeant avisé, profondément engagé au service de la paix et de la prospérité pour sa patrie et la région. Pourquoi, malgré les obstacles, nous avons réellement la possibilité de faire la paix aujourd’hui et pourquoi nous ne pouvons nous permettre de manquer cette chance : voilà ce que montrent ces mémoires. »
Bill Clinton

Atelier lecture du 11 janvier 🗓 🗺

Voici venir la seconde semaine de janvier qui débute avec ses flocons, ses bonnes résolutions, ses jours qui rallongent entre autres et comme habituellement notre premier rendez-vous de l’année, vendredi 11 à partir de 9h30…

Où ?? Encore à la maison pour échanger sur « Le silence de Saida » de Leena Lender !

Le Silence de Saida – Leena Lander

En voulant changer de vie et rompre avec son quotidien d’homme marié, Risto revient sur le chemin de sa naissance et dans la maison de sa grand-mère dont il a hérité.

Souhaitant faire des recherches sur son histoire familiale, il est emporté par ce qu’il découvre et tente de percer le secret de Saida en remontant le temps jusqu’en 1918 durant la guerre civile qui a opposé les rouges et les blancs.

C’est l’histoire d’une femme, d’un village, d’hommes et de femmes ordinaires et les conséquences d’un choix.

 

Retour en France pour une enquête parisienne avec « Pars vite et reviens tard » de Fred Vargas.

Pars vite et reviens tard – Fred Vargas

On l’a peint soigneusement sur les treize portes d’un immeuble, dans le 18e arrondissement de Paris : un grand 4 noir, inversé, à la base élargie. En dessous, trois lettres : CLT. Le commissaire Adamsberg les photographie, et hésite : simple graffiti, ou menace ? A l’autre bout de la ville, Joss, l’ancien marin breton devenu Crieur de nouvelles est perplexe. Depuis trois semaines, une main glisse à la nuit d’incompréhensibles missives dans sa boîte à messages. Un amuseur ? Un cinglé ? Son ancêtre murmure à son oreille : «Fais gaffe à toi, Joss. Il n’y a pas que du beau dans la tête de l’homme.» 

À très vite donc pour de nouvelles discussions ! ☺

Atelier lecture de décembre 🗓 🗺

Bonjour à tous et toutes,

Nous sommes au seuil du dernier atelier de l’année 2018.
Comme le temps passe vite…
Ce sera avec plaisir que je vous accueillerai Vendredi 14 Décembre à la maison comme d’ habitude pour notre atelier façon « Pikku Joulu »!

Je vous propose de commencer à 10h00.
Vers 12h00 , une séance pendant 30′ de sophro-analyse offerte gracieusement par Claire pour celles et ceux qui se sont inscrits.

Et ensuite , nous pourrons reprendre nos conversations tous azimuts jusqu’à 13h15 avec un graveläx sur le pouce que nous aurons préparé avec ceux qui ne participent pas à la séance.

Tommi Kinnunen – Là où se croisent quatre chemins

Nous aurons le loisir d’échanger sur le premier roman de Tommi Kinnunen : « Là où se croisent quatre chemins ». Ce livre retrace plus de 100 ans de l’histoire d’une famille originaire d’un village perdu au cœur de la Taïga, au nord de la Finlande.

Il tisse les événements de plusieurs vies par le biais de 3 femmes et un homme sur un canevas qui nous livre au fil des pages les détails du quotidien, les projets développés, les épreuves traversées, les non-dits gardés trop longtemps secrets.

Au fil des pages de cet ouvrage, j’ai encore une fois réalisé que la perception et le ressenti que nous pouvions avoir de la vie et des personnes qui nous entourent était propre à chacun et pouvait être faussée par notre vécu…

A très vite donc…
La porte sera comme ordinairement ouverte à partir de 9h30…

Je vous embrasse !

Sylvie

Oodi, la nouvelle bibliothèque

Oodi, vu de l’intérieur de Musiikkitalo

Oodi, « Ode » en français, a ouvert officiellement ses portes le 5 décembre, le dernier jour du centième anniversaire de la Finlande. Sa structure ondulante en bois d’épicéa et verre contraste avec les bâtiments en métal et verre qui l’entourent comme le récent Musiikkitalo et son précurseur Sanomatalo, le premier immeuble à grande baies vitrées d’Helsinki, sans oublier le musée d’art contemporain Kiasma en verre et béton.

Oodi, Musiikkitalo et Kiasma

Oodi est le fruit du bureau ALA Architects et est recouverte de 160 kilomètres d’épicéa finlandais, en fait pas tout à fait car les travaux ne sont pas encore terminés comme on peut le voir sur les photos.

Oodi, toutes les lattes de bois ne sont pas posées..

Les dates de livraison sont rarement respectées dans le bâtiment en Finlande et les ouvriers ont eu beau mettre les bouchées doubles pour terminer l’extérieur de l’édifice, l’installation des panneaux de bois s’est avérée beaucoup plus longue que prévu.

Rez de chaussée, vu de l’escalier mécanique vers le deuxième niveau

La nouvelle bibliothèque est destinée à promouvoir la connaissance, l’apprentissage et l’égalité d’accès à la culture. 100 000 livres seront à la disposition du public au 3ème niveau du bâtiment.

Deuxième niveau inaccessible pour le moment

Au deuxième niveau, Oodi cible également d’autres amateurs de culture et technologie, avec des studios de musique, des salles de montage de film et un cinéma. La mise à disposition gratuite d’imprimantes 3D et de découpeuses laser fait partie du programme. Le deuxième niveau n’est pas encore ouvert.

Le troisième et dernier niveau, la bibliothèque

Samedi je n’ai pas vu les robots déplacer les livres… Eh oui, il y a une armada de robots semblables à de petits chariots gris qui normalement vont se mouvoir à l’intérieur et à l’extérieur des ascenseurs, contourner les obstacles (à vérifier) et amener les livres aux rayons prévus. Là, un être humain prendra le relais… pour le moment 😉 Les robots feront partie du spectacle pour les 10.000 visiteurs attendus chaque jour.

Dernier étage, la pointe coté Musiikkitalo

Oodi aura des zones calmes pour étudier mais dans les autres parties, le silence ne sera pas la loi. Bruit et désordre seront la norme dans le coin des « nerds » – l’endroit où se rassembler et créer pour y construire des objets, utiliser des instruments de musique ou jouer à des jeux sur console (2ème niveau).

Le coin des enfants

La décision de ne pas séparer la section enfants de celle des adultes dans le dernier étage panoramique du bâtiment, un vaste espace de 50 mètres de long aux murs de verre de chaque côté et au toit en forme de nuage a été mûrement réfléchie par la direction de la bibliothèque. Le bruit des enfants est pour elle un bruit « positif » et elle précise que l’acoustique est telle que si les gens crient d’un côté, c’est à peine audible de l’autre.

Le coin café

À contre-courant de la fermeture de bibliothèques partout dans le monde, la Finlande a investi 100 millions d’euros dans Oodi. Dans une Finlande de 5,5 millions d’habitant, 68 millions de livres sont empruntés chaque année. Après l’eau potable, les bibliothèques d’Helsinki sont le deuxième service public le mieux apprécié et il n’y a pas eu pour le moment de reproche pour ce très important investissement financier.

La pointe nord, avec vue sur la musée National et Finlandia-talo

En tant qu’heureux participant à l’atelier lecture, j’apprécie la facilité de l’emprunt d’ouvrage (en français) grâce à helmet.fi, le service web des bibliothèques d’Helsinki. Par contre j’ai un petit bémol à dire concernant cette magnifique bibliothèque..

12 places sur table avec prises électriques et prises sur les marches d’escalier..

il n’y a actuellement que 12 places assises avec table alimentée en prises électriques dans tout le 3ème niveau, celui de la bibliothèque ! Les seules autres prises électriques visibles sont sur les marches des escaliers de cet étage.. Quand on sait que le succès des cafés du genre Expresso House vient justement de la possibilité de recharger son ordi ou son téléphone en plus du wifi, je ne comprend pas leur absence ici !

Escalier central circulaire

Il y a plusieurs zones avec table, canapé et même un café, mais aucune n’est équipée de prises électrique. Difficile d’imaginer de passer plusieurs heures avec son ordinateur pour travailler et emprunter des livres dans cet espace, autonomie et puissance étant incompatible dans les ordi premiers prix, surtout avec une batterie un peu vieillissante.

Zone de restauration du rez de chaussée, pas de prises électriques…

M’asseoir sur une marche pour travailler avec mon ordi portable sur les genoux, non merci ! Je pense que je n’investirai pas cet espace pourtant sympathique si j’ai besoin de travailler avec, les Expresso House et helmet.fi auront encore ma clientèle 😉

Vue du Expresso House de Mikonkatu, le 8 décembre 2018 à 20h, après ma visite de Oodi 😉

Littérature à offrir : les abonnements disponibles en Finlande.

A l’occasion de mon anniversaire j’ai eu le plaisir de découvrir les offres d’abonnement littéraire.

Une belle idée cadeau pour vos amis francophiles !

Après avoir répondu à un questionnaire concernant vos préférences de genre littéraire, d’auteur et vos attentes, un libraire vous proposera un ouvrage que vous et vous recevrez votre Kube par voie postale tous les mois pour la durée choisie.

Comble de la buissonnière de l’atelier lecture…. Ma première Kube contenait : « Le grand cœur » de JC Rufin au programme de ce mois-ci !

A réception, votre paquet contient également quelques petites surprises supplémentaires pour passer un bon moment avec votre livre…

Pour découvrir les formules : http://www.lakube.com/

Disponible aussi pour les jeunes lecteurs.

Club lecture francophone