Et si on faisait un « After » ?

Salut les ami(e)s !

Au tout début du dernier atelier lecture, à une question que j’avais soulevé sur notre futur fonctionnement, la majorité des participant(e)s ne souhaitaient pas changer la formule actuelle, c’est à dire des ateliers mensuels virtuels d’une heure et demie dont les livres au programme suivent une liste, prédéfinie par les participants habituels de l’année en cours pour l’année scolaire suivante.

Plusieurs personnes qui n’avaient pas participé à cette discussion du début et avaient rejoint en cours de route l’atelier de février sont restées en liaison Skype à la fin de celui-ci pour discuter, par plaisir, de tout et de rien. Au cours de l’échange, nous sommes tous tombés d’accord qu’il manquait les papotages amicaux pré et post atelier des réunions passées en présentiels, autour d’un thé ou d’un café.

C’est de cet échange qu’est venue l’idée commune d’un « After » virtuel permettant à ceux qui n’avaient pas lu le livre au programme et qui ne souhaitaient pas en connaitre la fin de venir nous rejoindre quand même après l’atelier lecture, pour papoter littérature, présenter d’autres livres lu et aimés.. (ou pas) et bien sûr de tout autre sujet d’actualité évidemment, un « After » café littéraire virtuel convivial en quelque sorte.

Nous allons tester cette idée à la fin du prochain atelier lecture du 9 mars à partir de 18h30, heure d’Helsinki. Lors de l’article de rappel pour cet atelier de mars qui sera publié dimanche prochain, il y aura un nouveau formulaire d’inscription proposant cette option « d’After ». Merci de le ré-emplir si vous êtes intéressé(e)s.

A bientôt !

 

Atelier lecture du 09.02.23 🗓

jeudi 09 Février
à partir de 17h00, heure d’Helsinki
Ta deuxième vie commence
quand tu comprends que tu n’en a qu’une

Raphaëlle Giordano

 

Qui n’a jamais pris de résolutions pour la nouvelle année ?  Qui a atteint les objectifs fixés ? Difficile d’avancer seul et sans aide, alors :
Quoi de mieux que de lire et mettre en pratique les conseils contenus dans ce livre.
Chapitre après chapitre, des explications simple permettent d’avancer sur le chemin du changement.

Vous pourrez ainsi mettre en place un vrai changement dans votre vie et partager avec les autres participants de l’Atelier Lecture vos commentaires sur le livre et la méthode !

4ème de couverture :
Camille, trente-huit ans et quart, a tout, semble-t-il, pour être heureuse. Alors pourquoi a-t-elle l’impression que le bonheur lui a glissé entre les doigts ? Tout ce qu’elle veut, c’est retrouver le chemin de la joie et de l’épanouissement. Quand Claude, routinologue, lui propose un accompagnement original pour l’y aider, elle n’hésite pas longtemps: elle fonce.
À travers des expériences étonnantes, créatives et riches de sens, elle va, pas à pas, transformer sa vie et repartir à la conquête de ses rêves…

Raphaëlle Giordano est écrivaine, artiste peintre, spécialiste en créativité et développement personnel.
Petite-fille de l’animateur de radio-télévision, parolier célèbre et résistant Jean Nohain (1900-1981), elle obtient le diplôme d’arts graphiques de l’école Estienne en 1998.
Elle travaille comme créative dans une agence de communication parisienne, mais démissionne pour créer en 2006 Emotone, une agence de coaching en créativité pour entreprises.
Quant à la psychologie, tombée dedans quand elle était petite, formée et certifiée à de nombreux outils, elle en a fait son autre grande spécialité.
Avec son premier roman, « Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une » (2015), elle crée une fiction attachante enrobée de pédagogie, autour d’un thème qui lui est cher : l’art de transformer sa vie pour trouver le chemin du bien-être et du bonheur.

Alors bonne transformation et à bientôt.

 

 

Pour aller plus loin avec « J’ai couru vers le Nil »


Les Nuits du Caire de Gilbert Sinoué est un roman charmant et percutant, dans lequel le passé joue à cache-cache avec le présent que je vous recommande vivement.
D’une plume légère et poétique, Gilbert Sinoué nous offre un voyage littéraire dans sa chère Égypte natale. Normal, donc, si le romancier ressemble au narrateur, le dénommé Karim Jawhar.
Ce chrétien d’Orient de soixante-six ans décide de revenir sur la terre de sa jeunesse. Un pays qu’il a quitté quarante ans plus tôt. Pourquoi un tel voyage, alors que l’Égypte est sur le point de chasser Moubarak ? L’amour bien sûr !

Karim débarque au Caire après plus d’un demi-siècle d’absence au moment du Printemps arabe. Les jours de cet homme semblent comptés. Son pèlerinage prend la forme d’un voyage initiatique au cours duquel il va revivre les évènements qui marquèrent sa jeunesse dans un monde qu’il ne reconnaît plus. « Vous avez vécu dans le souvenir du bonheur, Karim. Or, rien n’empêche le bonheur comme le souvenir du bonheur ».

Gilbert Sinoué est à la fois écrivain, auteur de chansons et historien. Il est l’auteur de nombreux romans, essais et biographies, parmi lesquels Le Livre de Saphir (prix des Libraires 1996), Les Silences de Dieu (Grand Prix de littérature policière 2003) et Des jours et des nuits (2001), qui a fait l’objet d’une série télévisée sur France 3, avec Stefan Freiss et Caterina Murino. Sa fresque en trois volumes Inch’Allah (2010-2016) dépeint le Moyen-Orient des XXe et XXIe siècles, par l’intermédiaire de familles ballottées par les tourments de l’actualité

Bonne lecture !

Atelier lecture du 12.01.23 🗓

jeudi 12 Janvier
à partir de 17h00, heure d’Helsinki
J’ai couru vers le Nil – Alaa Al-aswany

(édition française Actes Sud, septembre 2018)

Pourquoi ce livre ?

Le choix de ce livre a d’abord cherché à respecter les critères retenus par les participants de l’atelier pour le programme lectures de l’année 2022-2023, à savoir :

  1. un roman publié il y a moins de 10 ans
  2. un roman qui nous fasse découvrir d’autres univers que celui du paysage français
  3. un roman de moins de 600 pages
  4. un roman que nous avons déjà lu et que nous proposons en connaissance de cause.
J’ai couru vers le Nil © Actes Sud

Je me suis donc orientée vers les romans de littérature étrangère que j’avais pu lire récemment et c’est ainsi que j’ai pensé à J’ai couru vers le Nil d’Alaa Al-aswany traduit en français en 2018 et sorti en poche l’année suivante. Ayant habité au Caire pendant 2 ans, de 2014 à 2016, les événements de la place Tahrir de 2011 étaient encore bien présents dans les esprits à l’époque de notre séjour, non seulement dans les récits que nous en faisaient les personnes que nous avons rencontrées mais aussi dans la vie quotidienne avec les restrictions de déplacements, les consignes de sécurité à respecter, les alertes à la bombe, etc.

Lorsque j’ai lu le roman en France pendant l’été 2020, récits, souvenirs et compréhension / interprétation personnelle des événements ont resurgi avec une telle justesse et une telle acuité que je l’ai dévoré en 3 jours. En proposant le livre pour cet atelier, je me suis demandé comment celui-ci serait accueilli par un lectorat n’ayant pas vécu en Egypte et j’ai hésité à le mettre sur la liste. Aucun autre auteur lu récemment ne m’ayant autant tenu en haleine, je me suis décidée. C’est donc avec une impatience certaine – mêlée toutefois de crainte et d’incertitude – que j’attends d’entendre vos impressions de lecture, quelles qu’elles soient, puisque vous aurez plus probablement lu le roman avec une autre subjectivité que la mienne, avec d’autres biais de perception.

Place Tahir le 29.07.2011 © Wikipedia
Résumé :

Le Caire, 2011. La mobilisation populaire est à son comble sur la place Tahrir. Dans la foule se croisent et se lient des individus de tous bords. Autour de Dania et de Khaled, qui vivent un amour impossible, gravite une galaxie de personnages issus des diverses réalités de l’Égypte moderne : un grand bourgeois copte, ardent jouisseur converti en fervent militant, un ancien communiste désabusé, une présentatrice télé érigée en parangon de vertu… Chacun incarne une facette de cette révolution qui marque un point de rupture dans leur destinée et dans celle de leur pays.

Espoir, désir, hypocrisie, répression, Alaa El Aswany assemble ici les pièces de l’histoire égyptienne récente, frappée au coin de la dictature, et convoque le souffle d’une révolution qui fut aussi la sienne.

Dix ans après les printemps arabes, le renouveau espéré n’a pas eu lieu. En Égypte, la répression est plus féroce que jamais. Mais l’aspiration à des changements radicaux demeure, impérissable.

A propos de l’auteur :

Né en 1957, Alaa El Aswany est l’un des écrivains les plus célèbres du monde arabe. Son premier roman «L’Immeuble Yacoubian», publié en 2006, est devenu un véritable phénomène éditorial international. Romancier, nouvelliste, essayiste, il est traduit en une trentaine de langues et a reçu une quinzaine de prix littéraires.

Chroniqueur engagé, il défend ardemment les valeurs de la démocratie dans de nombreux articles parus dans la presse égyptienne et internationale. Il est l’un des membres fondateurs du mouvement d’opposition « Kifaya » (Ça suffit).

En 2011, il a pris une part active au Printemps arabe et participé au mouvement de la place Tahrir. Cette expérience lui a inspiré son roman «J’ai couru vers le Nil», publié en français en 2018 et vendu à près de 30.000 exemplaires mais interdit, selon l’écrivain, dans tous les pays arabes sauf la Tunisie, le Maroc et le Liban.

Alaa El Aswany vit aujourd’hui aux États-Unis où il enseigne la littérature.

A écouter :

Texte rédigé par Marie qui n’était pas en mesure d’écrire directement sur le blog

L’atelier se déroulera comme d’habitude en virtuel via Skype. Bonne lecture et au plaisir de vous revoir jeudi 12 Janvier !

Pour aller plus loin avec « La plus secrète mémoire des hommes »

 

Sampsa Peltonen et Mohamed Mbougar Sarr ©https://twitter.com/PSampsa/status/1587468010436153344
La plus secrète mémoire des hommes

Lors du dernier Atelier lecture nous avons été rejoint par  Sampsa Peltonen l’un des traducteurs du livre de Mohamed Mbougar Sarr en finnois.

Nous avons  pu discuter du métier de traducteur mais surtout de la difficulté de traduire un tel roman.
Un échange passionnant et nous remercions Mr Peltonen de nous avoir accordé du temps.

Nous espérons qu’il participera de nouveau à l’Atelier lecture des Francophones d’Helsinki !

Une liseuse pour la planète !

Mon petit billet d’humeur à un mois de Noël 😉

L’Ademe, l’agence de la transition écologique française, vient de publier une analyse des bilans environnementaux de la digitalisation.

«… Pour le service culturel « lire un livre », la lecture d’un roman de 300 pages format papier a, de prime abord, l’impact environnemental le plus faible sur l’ensemble des indicateurs pris en compte (ressources, émissions de CO2…).

Toutefois, pour un usage de plus de 10 lectures par an, utiliser une liseuse numérique a des impacts sur le changement climatique plus faibles que de lire sur format papier (dans l’hypothèse où les livres papiers sont neufs et jamais réutilisés). Dans l’hypothèse où chaque livre est réutilisé au moins 2 fois, la liseuse n’a un impact environnemental moindre qu’au-delà de 20 lectures par an… »

Liseuse avec fonction bloc-notes

Cela ne prend en compte que l’édition de livres neufs. Mais pour tous les ouvrages qui ne sont plus soumis aux droits d’auteur, je suis persuadé que la liseuse est encore plus avantageuse, notamment grâce aux projets de numérisation des livres du domaine public comme Gutenberg.

Bon nombre de lecteurs et lectrices que je connais en Finlande ou en France restent encore très attachées aux livres papier alors que ces personnes utilisent en permanence ordinateurs, tablettes et smartphones. J’ai remarqué que les arguments donnés pour expliquer cet attachement sont souvent l’odeur et le toucher.

Cet argumentaire sensuel de l’odeur et du toucher me fait penser au développement des sens chez le jeune enfant. Le livre papier serait-il en fait un doudou transitionnel discret rappelant le moment privilégiée de la lecture du soir avec maman ou papa ? 🤔

J’ai personnellement jeté directement à la poubelle mon nounours éventré vers l’âge de six ou sept ans, suite à une bagarre avec ma sœur, sans conséquences psychologiques graves, du moins en apparence et à ma connaissance. 😂

Je pense que c’est peut-être l’aspect doudou-free de ma personnalité qui m’a fait adopter très rapidement les liseuses avec écran e-link, après une utilisation peu convaincante des livres numériques sur ordinateur, un poil meilleure sur tablette ou smartphone récent du fait de leur mobilité. S’il n’y a ni l’odeur ni le touché du livre papier, l’aspect visuel de l’écran d’une liseuse reste comparable au papier, même au soleil sur la plage, un tiers de doudou sauf. 😜

Le confort apporté par cet outil est rapidement tellement évident qu’il est très difficile, voire impossible de revenir en arrière, surtout si l’on est plutôt boulimique en matière de lecture. Je ne décrirai pas les divers avantages d’une liseuse numérique pour vous laisser la primeur de les découvrir vous même 😉 . Si vous voulez en savoir plus, il y a plein d’articles à ce sujet sur la toile

Les jours sont probablement comptés pour le livre papier quand on voit l’explosion des nouveaux auteurs sur les supports dématérialisé comme Amazon. Ces auteurs sont de fait auto-éditeurs et s’affranchissent des refus parfois incompréhensibles des éditeurs établis, dont certains constituent un véritable monopole (lobby, maf.. ?) qui se goinfre au passage sans véritable justification.

Si le toucher du papier vous est indispensable, sachez que le coût d’impression d’un livre numérique en broché de 110 à 828 pages n’est que de 2,5€ à l’unité chez Amazon. Quand un auteur touche rarement plus de 1€ de droits par livre chez nos chers éditeurs du « monopole » (dans le sens pécuniaire du terme), on se demande comment ils peuvent justifier sans rire le prix de 20 à 25€ pour les nouveautés, sachant que plus de 90% des livres sont vendus en grandes surfaces ou sur internet ?

Le piratage illégal quasi immédiat de ces nouveaux livres édités par le « monopole », au détriment malheureusement des auteurs, se produit parce qu’à l’ère du numérique et de l’impression Offset, il est totalement déraisonnable de proposer des livres à ces prix là, en outre non prêtables et non échangeables pour les numériques, à cause de leur verrous imposés par ces éditeurs (DRM).

L’Ademe a « oublié » d’indiquer ce petit détail dans son comparatif quand elle parle dans sa deuxième hypothèse de réutiliser deux fois le livre papier ! Avec un livre numérique sans DRM ou déplombé, le calcul revient probablement à la première hypothèse, c’est à dire au seuil de 10 livres par an.

Avec un prix inférieur ou égal à 5€ pour un livre numérique, même sans DRM, aucun lecteur passionné ne cherchera de solution illégale, par respect pour les auteurs. En 2019, un quart des français lisaient plus de 20 livres par an, et 40% entre 5 et 19. Pour les grands lecteurs, le budget en numérique s’ils se fournissent sur Amazon hors « monopole » mais aussi se tournent vers les livres électroniques du domaine public francophone va rarement dépasser les 100€ par an 😉

S’ils choisissent les nouveautés publiés par le « monopole », c’est pas loin de 600€ par an qu’il faut sortir de leurs poches, dont moins de 30€ (5%) reviendront à l’ensemble des auteurs ! Il est facile de calculer le budget pour les très grand lecteurs qui lisent un livre ou plus par semaine !

En France, on a la même dépense que l’on achète un livre papier ou un livre numérique, car ce lobby (un autre nom encore moins sympathique serait certainement plus approprié) a imposé des prix identiques pour ces deux formes de publication, démontrant ainsi que le prix d’un livre n’a aucun rapport avec son coût d’édition ni avec le paiement des droits d’auteur.

Vous qui aimez (beaucoup) lire, c’est le moment d’abandonner vos doudous papiers ! Noël est une occasion idéale. Franchissez le pas et offrez-vous une liseuse, ne serait-ce que pour relire gratuitement les classiques ! Et maintenant, vous savez que vous défendrez également la planète 😉

Bonnes lectures à toutes et tous !

Atelier lecture du 08.12.22 🗓

 

jeudi 8 décembre
à partir de 17h00, heure d’Helsinki

La plus secrète mémoire des hommes – Mohamed Mbougar Sarr

Le Goncourt, bientôt traduit en 20 langues.

L’atelier Lecture :  Ce livre remarquable est propices à des échanges féconds. Il peut demander quelques efforts de lecture, car il est si riche, complexe, contradictoire et magnifiquement écrit. Le Goncourt satisfera les amateurs de la langue française, de philosophie, d’exotisme, d’humanisme, d’érotisme, d’intrigues mystérieuses, de romans initiatiques et de réalisme magique et pourtant, tout cela nous mène beaucoup plus loin … mais où ?

Un magistral roman d’apprentissage, une saisissante enquête sur les traces d’un mystérieux auteur menée par un jeune écrivain africain à Paris En 2018, Diégane Latyr Faye, jeune écrivain sénégalais, découvre à Paris un livre mythique, paru en 1938 : Le Labyrinthe de l’inhumain. On a perdu la trace de son auteur, qualifié en son temps de  » Rimbaud nègre « , depuis le scandale que déclencha la parution de son texte. Diégane s’engage alors, fasciné, sur la piste du mystérieux T. C. Elimane, où il affronte les grandes tragédies que sont le colonialisme ou la Shoah. Du Sénégal à la France en passant par l’Argentine, quelle vérité l’attend au centre de ce labyrinthe ? Sans jamais perdre le fil de cette quête qui l’accapare, Diégane, à Paris, fréquente un groupe de jeunes auteurs africains : tous s’observent, discutent, boivent, font beaucoup l’amour, et s’interrogent sur la nécessité de la création à partir de l’exil. Il va surtout s’attacher à deux femmes : la sulfureuse Siga, détentrice de secrets, et la fugace photojournaliste Aïda… D’une perpétuelle inventivité, La plus secrète mémoire des hommes est un roman étourdissant, dominé par l’exigence du choix entre l’écriture et la vie, ou encore par le désir de dépasser la question du face-à-face entre Afrique et Occident. Il est surtout un chant d’amour à la littérature et à son pouvoir intemporel.

Mohamed Mbougar Sarr, né en 1990 au Sénégal, travaille actuellement à une thèse de doctorat à l’Ecole des hautes études en sciences sociales. Son premier roman, Terre ceinte (Présence africaine, 2015), a reçu le prix Ahmadou-Kourouma, puis le Grand Prix du roman métis de Saint-Denis-de-la-Réunion. Il a ensuite publié Silence du choeur (Présence africaine, 2017, Prix Littérature-Monde – Etonnants Voyageurs 2018) et De purs hommes (Philippe Rey, 2018).

Rappel : N’oubliez pas de répondre au sondage sur Les horaires de l’Atelier lecture 2023

Pour participer, remplissez le questionnaire ci-dessous et vous recevrez le lien skype par e-mail.

Bonne lecture et à bientôt !

 

Club lecture francophone